Pourquoi toujours lire le top des ventes de l’année en cours quand on peut lire un vrai bon roman?
Voici donc, sans doute, mon roman favori. Lu à 18 ans, relu et rererelu depuis, La Plage d’Ostende m’a suivi toute ma vie et j’en goûte encore chaque mot depuis toutes ces années.
Le pitch :
Le livre s’ouvre sur cette phrase : « Dès que je le vis, je sus que Léopold Wiesbek m’appartiendrait. J’avais onze ans, il en avait vingt-cinq… »
Emilienne, l’héroïne, va alors se forger, se construire, devenir une œuvre vivante pour conquérir Léopold, le peintre aux couleurs de la mer du Nord en hiver.
Nous suivons leur histoire d’amour déchirante et contrariée au travers d’une vie fascinante et déçue. Quel prix seront-ils prêts à payer l’un et l’autre? Léopold fera-t-il passer la peinture avant l’amour? Où s’arrêtent les droits de l’amour et où commencent l’égoïsme et la cruauté?
Vous apprendrez à aimer les couleurs de la mer en hiver, l’élégance de la Belgique d’autrefois, un monde un peu passé, un peu vieilli, mais d’un goût plus doux qu’amer au fond…
Lâchons un instant les Levy et autres écrivains redondants, par pitié, et ouvrons les pages de ces vies dévorées…
Et au passage, demandez à ce que la version Kindle de La Plage d’Ostende soit créée : mon exemplaire n’en peut plus de se corner…
commentaires
Marie france
2021-03-27 06:32:22Val
2014-04-11 07:15:41