Je veux devenir une Early Wake Uppeuse… #EAWU

Kézaco?

Bon je vous explique. En tout cas, ces quelques mois avant mes 40 ans sont réellement les mois de tous les défis, je peux déjà vous le dire ^^

Donc j’ai un ami plein de chouettes théories et idées de ouf. En même temps, c’est son boulot, il est si spécialisé dans l’entrepreneuriat qu’il en fait des conférences de par le monde et rédige des bouquins sur le sujet. C’est, entre autres, l’auteur de la série de L’attitude des héros. (Faudra aussi que je vous en touche deux mots un jour)

Cet ami, c’est Fred Colantonio, dont je ne manquerai pas de vous reparler à l’avenir.

Quoiqu’il en soit, un jour, j’ai lu un de ses articles sur les neuf bénéfices à se lever à 5h du matin…

J’ai d’abord ri. Je lui ai envoyé qu’il était cinglé.

Ce gif devrait bouger mais notre hébergeur n’a toujours pas trouvé le problème…

Je n’ai jamais aimé me lever tôt. Je râle et peste à chaque sonnerie de réveil. Je pousse le snooze douze fois si c’est possible. Et je démarre la journée de mauvais poil.

Sauf que bien entendu, en écoutant Fred, j’ai bien compris que ça me donnait déjà un très mauvais signal et que je partais déjà presque sur un échec.

Je démarre la journée sur le fait de « n’avoir pas réussi à me lever ». BAM, un échec, je vous dis.

Et puis, maintenant que je vis une vie entièrement choisie, j’ai ENVIE d’en profiter à fond, d’avoir quelques minutes ou quelques heures de plus. Je travaille des heures considérables et j’aimerais vraiment y ajouter du temps pour autre chose que ce projet qui m’occupe. J’aimerais caser le sport, un peu de lecture, un vrai petit déjeûner, bref, des tas de choses que je fais plutôt dans l’urgence.

Alors j’ai rejoint le groupe de Fred sur facebook, les EAWU (le club des early wakeuppers). Au départ, je me suis juste contentée de lire les témoignages de ces gens qui, sans être des forces de la nature, sans être des privilégiés, ont déjà fait un paquet de choses pendant que moi je roupillais.

Certains partent travailler vers 5h30 pour éviter les bouchons et vont faire du sport une fois la capitale atteinte paisiblement. D’autres ont déjà couru pendant une heure, écrit, lu et j’en passe.

Mais ils ont vécu déjà des tas de moments pendant que moi, je dors.

Alors j’ai décidé de me lancer. Doucement mais sûrement, j’ai remonté le réveil de 30 minutes toute cette semaine. Alors certes, 30 minutes, ce n’est rien du tout. La semaine prochaine, je recule encore de 30 minutes de plus et j’aurai gagné une heure pleine. Là, ça devient intéressant.

En 30 minutes, j’ai cependant déjà gagné la paix matinale. Je démarre sans course et ça, c’est déjà un bonheur. Alors une heure, ce serait vraiment Byzance. Et deux heures, alors là vraiment, je pense que ce serait de la vie gagnée.

Alors bien entendu, je dois me coucher plus tôt. Mais je monte toujours vers 23h. Je perds surtout encore une heure ou deux sur le net, à regarder des trucs sans importance. Là, je me contrains simplement à poser ce satané téléphone.

Je ne vous dis pas que c’est un changement pour toujours ou que j’arriverai à me lever à 5h au terme du parcours. Mais si vous chercher une bonne façon de vous donner, dès le matin, la sensation de prendre votre vie en main, décidez de l’heure de votre réveil non pas en fonction de l’heure à laquelle vous devez partir travailler, mais en fonction des choses que vous aimeriez POUVOIR FAIRE AVEC PLAISIR avant d’aller faire face à vos obligations.

Je vous donne des nouvelles prochainement, c’est promis. Et si vous mourrez d’envie de vous lancer dans l’aventure, envoyez-moi un MP sur la page FB et je vous ajouterai avec plaisir au groupe des EAWU.

Vous en pensez quoi?